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Ils ont des titres comme « Schweinskopf al dente », « Grießnockerlaffäre » ou « Leberkäsjunkie », ont un statut culte absolu, notamment en Bavière, et connaissent un énorme succès au box-office : les thrillers d’Eberhofer. Les six premières parties sont désormais également disponibles sous forme d’abonnement Netflix.
Constantin Film Distribution GmbH
« Kaiserschmarrndrama », la septième émanation des thrillers d’Eberhofer ; a pu établir un nouveau record de visiteurs pour la série à succès méga autour du policier provincial Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) malgré les restrictions corona. Il n’est pas étonnant que les adaptations cinématographiques extrêmement réussies et populaires des romans cultes de Rita Falk se poursuivent pendant un certain temps. Le « Guglhupfgeschwader » nous attend ensuite le 4 août 2022.
Afin de pouvoir combler le temps d’attente d’ici là ou de permettre aux nouveaux venus d’entrer dans l’univers des thrillers policiers d’Eberhofer, Netflix a désormais inclus les six premiers volets de la série iconique et populaire dans son catalogue. Alors préparez-vous pour « Dampfnudelblues », « Winter potato dumplings », « Schweinskopf al dente », « Semolina dumpling affair », « Sauerkraut coma » et « Leberkäsjunkie » !
C’est de cela qu’il s’agit « Dampfnudelblues »
Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) vit à Niederkaltenkirchen avec sa grand-mère (Ilse Neubauer), douée pour la cuisine mais presque sourde, et son père (Eisi Gulp), qui adore les Beatles. Il enquête sur le cas du directeur Höpfl (Robert Palfrader), qui a d’abord disparu puis a été retrouvé écrasé par un train. Quelques jours plus tôt, le mur de sa maison disait encore « Meurs, tu sèmes ». Eberhofer croit à un meurtre. Son pote Rudi Birkenberger (Simon Schwarz) le soutient dans ses enquêtes, dans lesquelles il aime aussi déroger à la légalité.
C’est de cela qu’il s’agit « Winter Potato Dumplings »
Le policier du village Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) doit résoudre une série de morts étranges impliquant la famille Neuhofer. Alors que la majorité et surtout le supérieur de Franz, Moratschek (Sigi Zimmerschied), croient à une malheureuse série de coïncidences, le policier du village a déjà jeté son dévolu sur un auteur présumé – plutôt un suspect : la séduisante et mystérieuse Mercedes (Jeanette Hain). Frank, avec le soutien de son ex-collègue munichois Rudi Birkenberger (Simon Schwarz), suit immédiatement la piste de la jolie femme et de son partenaire Klaus Mendel (Sascha Alexander Gersak).
C’est ça « Tête de cochon al dente »
Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) est en proie au mal d’amour parce que sa petite amie Susi (Lisa Maria Potthoff) s’est enfuie en Italie – après que Franz ait raté la dernière occasion de sauver sa relation avec une déclaration particulièrement malheureuse. Alors que le père de Franz (Eisi Gulp) et la pétillante grand-mère (Enzi Fuchs) planifient un voyage en famille dans le sud pour ramener leur belle-fille, Franz a d’autres soucis : après que son patron Moratschek (Sigi Zimmerschied) ait trouvé une tête de cochon coupée dans son lit, il est un parangon de panique, ordonne à Franz d’être son garde du corps personnel et emménage avec lui…
C’est de cela qu’il s’agit « Boulettes de semoule »
Le lendemain d’un mariage tumultueux de policiers, le policier du village Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel), encore ivre depuis longtemps, est brutalement réveillé par les collègues lourdement armés de la force spéciale, qui l’arrêtent sommairement pour meurtre : son supérieur , l’inspecteur Barschl (Francis Fulton-Smith), a été retrouvé mort par le couteau de poche de Franz dans le dos – et Frank et Barschl étaient connus dans tout le village comme des rivaux et des ennemis jurés. Heureusement, le père de Franz (Eisi Gulp) lui donne un alibi, il est donc rapidement libéré. Avec Rudi Birkenberger (Simon Schwarz), Franz reprend ensuite l’enquête…
C’est de cela qu’il s’agit « Sauerkrautkoma »
Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) a encore une fois beaucoup de problèmes qui l’arrachent sans pitié à son quotidien : il est promu contre son gré et doit donc déménager dans la grande ville de Munich, où il partage un appartement avec son pote Rudi (Simon Schwarz) tire. Ironiquement, sa rivale Thin Lizzy (Nora Waldstätten) est maintenant sa supérieure ici. Heureusement, il y a bientôt une excuse pour retourner à Niederkaltenkirchen : un corps est retrouvé dans l’Opel iral de son père (Eisi Gulp) – et une vieille connaissance, l’homme d’affaires prospère Karl-Heinz Fleischmann (Gedeon Burkhard), entreprend d’obtenir la petite amie de Franz Susi (Lisa Maria Potthoff) a couru.
C’est de cela qu’il s’agit « Leberkäsjunkie »
Pour Franz Eberhofer (Sebastian Bezzel) c’est fini le pain de viande et les boulettes de viande ! Son taux de cholestérol est aussi élevé que son humeur au sous-sol. De sa grand-mère (Enzi Fuchs) il n’y a que des aliments sains. Pour Eberhofer, ce sont des conditions intolérables. De plus, il y a une affaire de meurtre impliquant un corps brûlé, un manque de sommeil, des couches malodorantes et du stress avec sa demi-ex-petite amie Susi (Lisa Maria Potthoff). Lorsque Susi lui confie pour une semaine leur fils Paul (Luis Sosnowski), âgé de presque un an, Franz sent sa dernière chance. Maintenant, il peut enfin faire ses preuves auprès de Susi en tant que père ! Avec ses amis, Eberhofer fait bien bercer le petit Paul, mais le crime dans l’idyllique Niederkaltenkirchen lui met des bâtons dans les roues…
« Drame Kaiserschmarrn » dans le podcast
Même si « Kaiserschmarrndrama » n’est pas encore disponible sous forme d’abonnement Netflix, vous pourriez être intéressé de savoir si le septième volet de la série policière Eberhofer est au même niveau que ses prédécesseurs. Dans l’édition d’amour sur grand écran correspondante du podcast FILMSTARTS, un Hamburger et un noob parlent du facteur culte de la série policière locale et pourquoi les titres de films sont idéaux pour vous mettre en appétit.
SOURCE : Reviews News
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