✔️ 2022-09-16 11:38:44 – Paris/.
Le catalogue déjà impressionnant de films d’horreur de Netflix vient de faire un saut qualitatif. Avec les titres téléchargés sur la plate-forme, nous avons couvert notre dose de frayeurs dont nous avions tant besoin sur le petit écran. Même si cela ne suffisait pas, il y a aussi cinq séries d’horreur à l’horizon qui arrivent sur Netflix cet automne. Mais, peu importe à quel point nous étions bien approvisionnés pour er les derniers mois de l’année bien remplis de films et de séries de genre, qui serait dégoûté par l’arrivée de la saga d’horreur la plus emblématique du cinéma espagnol dans le catalogue de la plateforme ?
L’histoire vivante de la fantaterror espagnole a atterri sur Netflix avec les quatre épisodes de [REC], la franchise espagnole la plus importante de films d’horreur et, sûrement, aussi celle qui a été la plus appréciée en dehors de nos frontières. La saga, créée et réalisée par le couple cinématographique Paco Plaza et Jaume Balagueró, a commencé comme une proposition d’horreur minimaliste qui a grandi en taille et en ambition à chaque film. En cours de route, la franchise a remporté un succès considérable au box-office sur le marché étranger, recevant même un refaire Américain.
Filmax
L’histoire commence par [REC]un premier film audacieux qui, à petit budget et grâce à l’artefact de images trouvées, est immédiatement devenu l’un des films les plus remarquables de la récolte cinématographique espagnole 2007 et l’une des propositions les plus imaginatives de toute l’histoire de notre terreur. Les réalisateurs, Paco Plaza et Jaume Balagueró, ont habilement résolu l’équation de la moins est plus optant pour une identité visuelle vulgaire, d’un appareil photo numérique de poche et avec un air improvisé. L’échafaudage du récit est on ne peut plus simple, ni plus efficace : une journaliste intrépide et sa caméra sont enfermées dans un bâtiment en quarantaine à Barcelone, où éclate une épidémie d’infection zombie. Cette année-là, le film a remporté deux Goyas et quatre autres prix à Sitges, levant au total plus de 15 fois ce qu’il avait coûté. Bien sûr, étant le premier film de la franchise – et aussi le plus révolutionnaire -, [REC] Il occupe le podium 2007 de notre liste des meilleurs films d’horreur du 21e siècle, année après année.
Après le succès de ce premier volet, Plaza et Balagueró ont signé une suite ensemble, [REC] deux, situé dans un autre immeuble avec un locataire cannibale. Par la suite, Plaza a pris sur lui de [REC] 3: Genèseune préquelle qui a transcendé le images trouvées s’abandonner complètement à l’action gore, avec une grande Leticia Dolera; et Balagueró, pour sa part, ont signé [REC] 4 : Apocalypse, la clôture de la saga, qui se déroulait sur un navire. Ils sont tous déjà sur Netflix. Aussi, si vous vous connectez tellement avec les films d’horreur que les images les plus suffocantes, désagréables et sanglantes servent à sublimer des angoisses et des épisodes traumatisants qui, heureusement, ont déjà été surmontés, vous voudrez peut-être même en profiter pour aborder la saga de mémoire de le confinement que nous vivons par le COVID-19 : dans les films de REC -surtout dans le premier- vous avez des confinements de films qui rappelleront le coronavirus. Vous pouviez déjà voir les quatre épisodes de cette franchise d’horreur espagnole oppressante, l’une des plus emblématiques de tout notre cinéma, dans les catalogues Filmin et Disney+, mais maintenant vous les avez aussi sur une nouvelle plateforme. Nul doute que la saga entre directement, et confortablement, dans le club des meilleurs films espagnols que vous pouvez voir en ce moment sur Netflix.
SOURCE : Reviews News
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